
Bien que les annulations ciblent principalement les petites entreprises peu performantes, cette mesure signale une volonté plus large du gouvernement guinéen de faire respecter les règles et de réaligner le secteur sur les objectifs de développement national.
« Cela peut être interprété comme un avertissement aux sociétés minières selon lequel le gouvernement a l’intention de voir les projets développés selon les conditions convenues », a déclaré un conseiller d’un cabinet de conseil panafricain.
Les révocations de licences s’inscrivent dans le cadre de réformes plus vastes visant à accroître les bénéfices locaux, à renforcer la surveillance réglementaire et à accroître les recettes de l’État.
Il s’agit notamment d’encourager les entreprises à établir des raffineries d’alumine sur le territoire national plutôt que d’exporter de la bauxite brute, et de renforcer les règles relatives aux obligations en matière de licences et d’investissement.
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