L’hérésie la plus monstrueuse de la catastrophique gouvernance de « Maquis Sale », est celle qui passe par la démonstration loin d’être reluisante de notre saltimbanque Ministron de caniveau le dénommé (Entre-toi-Fesses-lisses-Diome), ce bonimenteur bigarré qui aurait pu être plus utile dans le groupe des (inutiles de la République) que dans les gouvernements de « Maquis Sale » qui se succèdent sans élégance et culture démocratique. Ce néophyte politico-démocratique après avoir échoué dans tout surtout dans la politique où d’ailleurs sa place ne s’y trouve pas mais par accident du pouvoir décrétal il a eu la chance d’atteindre le summum du stratégique département de l’intérieur pour en réclamer par la suite un destin plus grand que lui, quelle perfidie envers son faux bienfaiteur et l’histoire ? À force d’observer de prêt les faits et gestes politiques de ce ministron sans avenir politique, l’on peut directement en déduire en voyant de plus clair qu’il fait partie de ceux qui se prennent « pour des surhommes , alors qu’ils sont à peine des hommes » comme le disait Alain, ce marmot paria , destiné à la vindicite populaire et au châtiment de l’histoire qui le refusera même ses poubelles sans crainte aucune. La saga et le destin de notre petit bonhomme, s’apparentent à ce que Victor Hugo qualifiait de « misérables de la République ».
Ainsi ne dira t-on pas que pour être jugé par l’histoire, faudrait-il encore participer à la faire ou à la connaître un tant soit peu, l’inéluctabilité de l’échec n’est-elle pas le pire des drames pour des hommes comme Félix Diome qui rêvent de grandeur sans avoir le talent d’y parvenir. Car il ne faut pas s’y tromper, c’est un éternel second qui veut être premier vaille que vaille mais qui restera ad-vitam æternam second.
Tenez bien ! Cet individu d’aucune vertu, ce singleton impondérable souvent habité par des ires incontrôlables, ce forban patibulaire et vassal-né, ne s’impose aucune limite morale dans ses agissements de mouton politique. Ses rodomontades et ses prophéties de malheur heureusement sans lendemain ne tarderont pas à le rattraper. Si non il y’a longtemps déjà, que ce rodomont raté, dont l’immensité de la bêtise n’est pas sans rappeler son ignorance politique criarde, a perdu les valeurs sacrées de la société qui sont l’honneur et la gloire. C’est un chenapan et dépendant éternel de ses propres neurones frelatés. Son manque criard d’honnêteté et de hauteur surtout quand il joue son jeu de brouillon, mais bon puisqu’il est le plus brouillon du gouvernement il ne faut pas trop l’en vouloir. À chacun son rôle, heureusement.
Cette tête de pioche politique au propre comme au figuré pour exister dans la galerie, ce Stockholmard se croit obligé de s’attaquer à tout le monde dans un salmigondis où l’anachronisme défie le paralogisme. Quel regret pour le républicanisme !
Il faut le dire haut et fort qu’Antoine Félix Diome a échoué à servir correctement la République et à mériter le pari de la gestion heureuse. Il a échoué à travailler pour les sénégalais et à mériter leur confiance.
Il a échoué à déstabiliser le pays, en désespoir de cause, à rester dans le gouvernement, la conscience chargée.
Il échoue à faire de la politique, sans confort intellectuel et espère être entendu de quelqu’un, n’ayant plus d’arguments et n’étant plus crédible, aux yeux de personne.
L’union des fretins de la République ne fait plus rêver personne, et Antoine Félix Diome est devenu un cauchemar pour lui-même.
Mourir autrement.
La bêtise est notre ennemi. Je n’en ai pas fini avec toi c’est promis.
Par Aboubakr (Leader du mouvement de la palingénésie de l’ancien gouvernement panafricain en exil).